Premières expériences et engrenages : Chapitre 61 : Frottements pernicieux

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il y a 1 an

Chapitre 61 : Frottements pernicieux

  • Maîtresse Diane m’a demandé d’obtenir une échelle auprès du jardinier, dis-je en gardant la voix la plus masculine que je pouvais.

Je devais bien avouer, qu’à dix-huit ans, je n’avais pas encore mué autant que je l’aurai voulu en cet instant. C’est alors que les vibrations se mirent en marche. Je me trémoussai, gémissant, devant ces hommes qui me regardaient, me détaillaient, me scrutaient sans rien dire.

  • Je te l’amène, dit l’un des hommes, un roux avec un accent anglais. Tu me devras un service, ajouta-t-il en me faisant un clin d’œil.

Je le remerciai de la tête sans valider ouvertement mon accord dont d’ailleurs je me refusai à deviner à quoi il consentirait. Et j’attendis, résistant aux vibrations qui m’obligeaient à exécuter comme une danse lascive, attrayante de ce que je pouvais percevoir dans les yeux pervers de mes voyeurs.

Je m’approchai de la première fenêtre, encore un peu plus près d’eux et déposai le seau. Je n’avais rien à faire. Le temps passait lentement, trop lentement à subir vagues après vagues ces excitations électriques.

  • Quel est ton nom, me demanda un homme d’origine maghrébine, l’un de ceux sur le banc.

  • Lassie, répondis-je, heureuse d’avoir un pseudonyme.

  • Tu as quel âge ? demanda un autre de type asiatique.

  • Dix-huit ans, depuis dix jours, précisai-je sans savoir pourquoi.

  • Tu as déjà été avec un homme, poursuivit-il.

  • Non. Je …je ne suis pas intéressé par les hommes.

  • C’est que tu n’as n’en pas rencontré de bien, répondit un grand blond musclé.

La conversation commençait non seulement à m’échapper et je trouvais, qu’au fur et à mesure, ils avançaient vers moi. Comme si chacun d’entre eux, par un pas, entrainait naturellement un autre à s’approcher un peu plus.

  • Maîtresse Diane m’a dit que tu étais puceau avec les hommes comme avec les femmes et que tu portais cette cage depuis ton anniversaire. C‘est vrai ? me demanda Lisa.

  • Oui, confirmai-je, pensant que cela les ferait hésiter à poursuivre.

Que je connaissais mal les hommes, pensai-je avant de me rappeler que j’en fusse un, il n’y avait pas si longtemps.

Enfin le jardinier revenait avec l’échelle.

  • Ce n’est pas une tenue pour faire les vitres dit un autre, un géant sortant du bois avec un accent espagnol, mexicain peut-être.

Combien étaient-ils ? Six, sept. Je ne voulais pas les fixer, les dévisager. Ils avaient à peu près tous le même âge, une trentaine d’année. Bien bâtis, Maîtresse Diane les avait choisis pour leur physique. Musclés, avec pour certain une barbe naissante. Il y avait un détail dont je n’arrivais pas à mettre la main dessus avant qu’ils ne soient tous à moins de cinq mètres de moi. Ils étaient tous différents, stéréotypés. On dirait une pub pour une marque de vêtements.

Une personne originaire du sud-est asiatique, le plus petit, un noir probablement antillais, un métis, un quatrième d’origine d’Afrique du Nord reconnaissable comme tous les autres à son accent, un latin italien d’origine, un blond nordique aux yeux bleu-clair, un gigantesque mexicain ou d’Amérique du Sud et enfin le roux, probablement anglo-saxon, qui posa l’échelle par terre devant la fenêtre. Ils étaient huit, tous d’origines différentes. C’est pour cela que Maîtresse Diane les avaient choisis.

Je fis semblant de rien et essayai de soulever l’échelle à mes pieds afin de la poser contre le mur. Je savais que si je l’échappai, elle traverserait la vitre. Mais, avec les poignets attachés, je ne pouvais même pas la soulever.

  • Besoin d’aide ? me demanda le latin.

  • Je crois bien, répondis-je en tirant sans succès sur les chaînes.

  • Tu pourrais être polie ma mignonne et nous le demander sur un autre ton.

  • L’un d’entre vous aura-t-il l’obligeance de m’aider à poser l’échelle sur le mur ? demandai-je plus humblement, les incitant probablement à poursuivre dans leurs demandes.

  • Là, on peut s’entendre, me dit l’Africain en soulevant l’échelle sans me quitter des yeux.

Il la posa sur le mur juste à côté de la première fenêtre. Je trempais la brosse dans le seau sans conviction. Ils formaient maintenant un arc de cercle autour de moi. Une nouvelle vibration plus forte, intense, m’assaillit. Je me courbais, faillis tomber mais je fus retenu par l’outremarin.

  • Merci, lui adressai-je par réflexe en lui serrant l’avant-bras.

Ma voix, sous l’effet des vibrations n’était qu’un gémissement plaintif, comme une extase. Ce fut comme un signal. Toutes les mains se rapprochèrent de moi, prétextant m’aider à monter à l’échelle, la tenant, me tenant. J’escaladai les marches, une par une, limité par l’espace entre mes chevilles.

Une. L’échelle trembla encore avant qu’une, deux, trois mains ne la maintiennent. Les gants qu’ils portaient, offerts ou prêtés par Maîtresse Diane, étaient tous identiques, je ne voyais plus qui faisait quoi Deux. Je les sentais à mes chevilles, à mes cuisses, sur mes fesses. Soulevé, je montais sans peine.

Trois. A travers la fenêtre, je vis les quatre dominatrices qui s’étaient levées et rapprochées. Maîtresse diane me tira la langue en activant la commande qui faisait vibrer mes tétons, doucement, pour que j’y trouve du plaisir et que je l’associe aux mains masculines se posant sur mon corps.

Quatre, une main sur les barreaux, l’autre accrochée au manche, je ne sentais plus les échelons, tant j’étais décollé du sol, comme un receveur de touche de rugby. C’était à quoi cela aurait pu ressembler, si je n’étais pas dans cette tenue et s’ils n’étaient pas si nombreux.

Cinq. Une main m’attrapa les couilles et me les massa. Je tendis le manche pour voir qu’il me manquait encore quelques centimètres pour atteindre le haut de cette putain de fenêtre géante, érigée en forme de gode géant, avec son bout arrondi. Les caresses me faisaient de l’effet pour que je n’y trouve que cette comparaison.

Six. Toutes ces mains sur moi, les maîtresses m’observant. Une érection tenta sa chance, bridée par les pointes de la cage. Je voyais plus que n’entendais Maîtresse Diane battre des mains. De haut en bas j’activais ce manche frottant le bout, la brosse, contre le haut de la fenêtre, humidifiant ce gode avec mon manche.

J’avais voulu aller vite. Mais, maintenant, en haut de cette échelle, avec au moins huit mains sur mon corps, louvoyant en un va-et-vient rythmé à mon maniement du manche, je voulais que cela dure longtemps. Non !

Je me moquais de ma cage et de ses pointes. Je ne sentais plus le corset qui me serrait, ni les pinces douloureuses que le froid avait dû annihiler et mes tétons qui auraient voulu durcir sans en avoir la place. J’ignorais mes chevilles détendues par le maintien de ces hommes. J’ignorais ces poids qui, comme toutes les parties métalliques, se refroidissaient à en mordre ma chair.

Non ! Pas moi, Lassie ! Je frottais comme si je me branlais, jouissant à chaque mouvement grâce au plug qui s’y associait, qui participait, qu’il m’infligeait. Les deux mains sur mes fesses qui me soutenaient, s’alternaient, donnant un mouvement supplémentaire et volontaire au plug… je m’imaginais qu’ils m’enculaient.

Non ! Je n’étais pas homosexuel ! Non, je n’étais pas attiré par eux, par leurs muscles, par leurs caresses, par leurs mains larges et dures dans ces gants rugueux. Non, je ne ressentais rien lorsque certains posèrent leurs lèvres entre les mailles de mes bas, glissèrent leur langue sur ma peau, y déposant un peu de salive que le vent froid activait comme une brûlure peu après. Ce n’était pas moi, c’était Lassie !

Non je ne voulais pas faire l’amour avec un homme… mais là, huit ! Après deux semaines d’abstinence. Qu’elles m’enlèvent donc cette putain de cage et je jouirais au fond de la bouche de chacun d’entre eux, un par un, pour les remercier de cette sensation. Je m’oubliai. Ce n’était plus moi, c’était Lassie qui exprimait ses sentiments. Pas moi !

Ce furent eux qui me ramenèrent sur terre alors que les mouvements que j’exécutais avec la brosse ne touchaient plus la fenêtre. Tandis que je reprenais mes esprits, je les vis déplacer l’échelle vers la seconde fenêtre.

Nom de dieu ! Il y en avait encore quatre à nettoyer ! Que cela va être bon me soufflait une voix féminine dans ma tête.

C’eut été, à cet instant précis, la première fois que Lassie me parla, qu’elle eut pris corps en moi.

Superbe....
Mais quelle tension !!!
Prochain chapitre sur https://fessestivites.com/recit/198106
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